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« Ce qui choque, c’est qu’à Cotonou, et ces chiffres là, je les ai checkés. Et je le dis de façon péremptoire. Il y a plus de deux-cents (200) immeubles à Cotonou aujourd’hui qui sont confisqués par les banques (…) du fait du non-remboursement des prêts. C’est-à-dire que c’est des personnes qui ont déposé leurs maisons en gage, pour prêter de l’argent auprès des banques pour des projets donnés. Mais qui, aujourd’hui sont en faillite, ou que les projets n’ont plus prospéré, ou que tout a été déséquilibré à leurs niveaux, de sorte qu’ils se retrouvent dans l’incapacité de rembourser ces prêts là, l’argent emprunté auprès des banques. Et les banques ont confisqué plus de deux-cents (200) immeubles aujourd’hui à Cotonou.
Mais, le plus grave, c’est que ces banques là sont aujourd’hui dans l’incapacité de retrouver des repreneurs pour racheter ces immeubles. Mais, écoutez ! C’est un signe poignant de détresse qui se généralise. Non ! Il faudra que la Rupture essaye de revoir le narratif qui tend à dire, oui que tout va bien. En tout cas, ça va mieux aujourd’hui qu’hier. C’est vrai ! C’est vrai, nous avons progressé, du point de vue de la réalisation des infrastructures. Mais, le béton ne fait pas le développement. Il n’y a pas que le béton pour faire le développement. Et c’est pour celà que j’inviterais à regarder ces chiffres là, et à regarder la réalité, pour la construction ou la reconstruction du narratif gagnant pour la Rupture. C’est mon point de vue. »
👉🏾Distel Amoussou, activiste politique, membre du parti « Bloc Républicain », le 12 août 2024
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