Affaire « Baltasar » : Des centaines de vidéos sextape du fils d’une autorité de la Guinée équatoriale, divulguées à foison sur la toile

👉🏾Tout savoir sur ce scandale sexuel où l’auteur a tenu des parties de jambes en l’air avec des femmes mariées dont celle d’une autorité du pays, sa belle-sœur, etc.

Depuis fin octobre 2024, un scandale sexuel ébranle la Guinée Équatoriale. Il s’agit de centaines de vidéos sextapes impliquant un certain Baltasar Ebang Engonga, qui a tenu des parties de jambes en l’air avec des dizaines des jeunes femmes et de femmes mariées dans différents endroits.

Surnommé « Bello », Baltasar Ebang Engonga, l’auteur des images érotiques qui font jaser sur la toile, est le fils du président de la commission de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC). A travers les séquences vidéos qui circulent à foison sur la toile, on le voit à fond tenir des actes sexuels avec des femmes métisses, blanches et noires. Pendant les actes sexuels qu’il prend le soin de filmer, la plupart des femmes affichent un air consentant et jusqu’à l’orgasme, que ce soit dans des chambres d’hôtels, au bord des rivières, sur son bureau de travail, dans des toilettes, etc. Parfois, il se sert des jouets sexuels (sex toys) pour mieux stimuler ses conquêtes.

Parmi ces dernières, une femme visiblement enceinte, des femmes mariées dont l’épouse du chef de la sécurité présidentielle de la Guinée Équatoriale. Mieux, l’épouse de son propre frère et l’une des filles du président de la République de la Guinée Équatoriale feraient partie du lot de ses proies.

Des poursuites judiciaires en vue

Selon plusieurs sources locales de la Guinée Équatoriale dont Realequatorialguinea, les séquences vidéos sextape ont fuité après que les services de sécurité aient confisqué le matériel informatique appartenant à l’auteur des vidéos, Baltasar Ebang Engonga déjà interpellé et en détention depuis quelques mois pour une présumée affaire de corruption. La plupart de ses conquêtes ont déposé des plaintes pour « transmission préméditée de maladie ». Saisi, le Procureur Général Anatolio Nzang Nguema a ouvert une enquête, pour vérifier si le prévenu est réellement porteur d’une maladie sexuellement transmissible qu’il aurait voulu propager. Baltasar Ebang Engonga pourrait donc être poursuivi pour « mise en danger de la santé publique », en cas de confirmation de cette hypothèse. Un audit sanitaire est ainsi en cours avec ses nombreuses conquêtes, pour évaluer les risques potentiels de cette éventualité.
Cliquer ici pour lire quelques séquences des vidéos érotiques concernées.👉🏾https://t.me/thenudehub

✍🏾Loth HOUSSOU
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