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Lancée le vendredi 1er mai dernier, la campagne électorale en prélude aux élections communales du 17 mai 2020 bat son plein à travers les différents médias dans tout le Bénin. Si la mayonnaise peine encore à prendre chez certains partis politiques, c’est bien le contraire au niveau de l’Union Progressiste reconnu aujourd’hui comme la plus grande famille politique sous l’ère de la Rupture.
Dans la plupart des circonscriptions électorales, les baobabs ravissent la vedette à leurs challengers, selon les résultats des premiers sondages réalisés, après le 6è jour de campagne. Dans les 13 arrondissements de Cotonou par exemple, c’est encore plus délicat.
Et tout comme les autres, la tête de liste du parti Union Progressiste dans le 3è arrondissement de Cotonou, Maurille Omer Adétonah règne en maître, lui avec avec ses pairs. Fin stratège et leader politique avec ses années d’expériences non négligeables, lui et sa troupe composée de 10 candidats sont en tête dans les sondages. Visiblement, le juriste de formation qui a été impacté par plus de deux (02) décennies d’expériences dans le management des affaires, prouve à suffisance ses potentialités pour garantir la victoire, ensemble avec ses pairs, au soir du 17 mai 2020.
Tout compte fait, les autres candidats à savoir Valère Houndjènoukon, Robert Cakpo, Jeanne Sossouhounto, Julien Ahounou, Amidou Ayonou, Antoine Bahoun-Houtoukpè, Marius Dèdjinou, Lucien Koudonkpo et Hector Houhoui résolument engagés derrière leur mentor Omer Adétonah, n’ont qu’un seul objectif : obtenir les cinq (05) sièges du 3è arrondissement de Cotonou au profit du parti des baobabs, le 17 mai prochain.
On attend de voir.
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